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LA CFDT FONCTIONS PUBLIQUES DANS LES MEDIAS - OCTOBRE 2020

Publié le 21/10/2020 (mis à jour le 03/11/2020)

.... Autant de sujets qui ont animé l'actualité du mois d'octobre.

27 octobre 2020

  • LCI - Perri Scope

Intervention de Mylène Jacquot - VIDEO

26 octobre 2020

  • LE MONDE

La difficile mise en place du télétravail dans la fonction publique

La pratique était, il est vrai, très peu répandue parmi les fonctionnaires. Mais, pendant le confinement, un agent de l’Etat sur deux s’y est mis, selon un bilan partiel établi à la rentrée par le ministère qui relève lui aussi le « manque de préparation » de l’administration. Cette pratique était « tellement peu dans la culture de la fonction publique que, globalement, cela s’est passé de manière assez chaotique », assure Carole Chapelle, secrétaire générale adjointe de la CFDT Fonctions publiques.

22 octobre 2020

  • LA GAZETTE DES COMMUNES

Des pistes pour booster l’attractivité de la fonction publique

Levier identifié comme essentiel, le ministère entend développer et diffuser largement la marque État employeur avec comme point central la valorisation du service public et de l’intérêt général. Une idée « louable » pour Mylène Jacquot, secrétaire générale CFDT Fonctions publiques mais qui n’intègre, selon elle, pas assez les deux autres versants de la fonction publique.

20 octobre 2020

  • LA GAZETTE DES COMMUNES 

Covid-19 et fonction publique : les précisions d’Amélie de Montchalin aux syndicats

« Les cas contacts sont placés en ASA dans l’attente de leurs résultats, mais s’ils sont positifs, on leur impose un jour de carence », rappelle Mylène Jacquot, secrétaire générale de la CFDT Fonctions publiques qui avoue ne pas comprendre la logique gouvernementale en la matière : « Dès lors que l’état d’urgence sanitaire est rétabli, pourquoi ne pas revenir à la situation antérieure ? Comment peut-on lutter contre la propagation du virus quand on sait que certains agents, pénalisés par ce jour de carence, se rendent tout de même dans leur collectivité ? »

8 octobre 2020

  • AEF

La prime de fidélisation dans la Seine-Saint-Denis pourrait concerner 40 000 agents de l’État

Les organisations syndicales présentes au groupe de travail du 6 octobre ont "toutes regretté l’absence de dialogue social sur un sujet qui concerne les agents", rapporte Mylène Jacquot, la secrétaire générale de la CFDT Fonctions publiques.

7 octobre 2020

  • AEF

Les syndicats, déçus du suivi du rendez-vous salarial, regrettent toujours l’absence de mesure générale

Si l’actualisation pérenne de l’IC-CSG (pour laquelle plusieurs syndicats auraient préféré l’application d’un taux mensuel), la reconduction de la Gipa pour deux ans cette fois, jusqu’à la fin du quinquennat – évitant au gouvernement d’avoir à publier un nouveau texte fin 2021 –, et les mesures de convergence indemnitaire sont saluées, "la somme des mesures catégorielles ou sectorielles ne fait pas une mesure générale", pointe la CFDT Fonctions publiques, par la voix de sa secrétaire générale, Mylène Jacquot.

Quant au bilan de la mise en œuvre du protocole PPCR (seulement quelques centaines d’agents ne seraient pas encore concernées, tels les traducteurs du ministère des Affaires étrangères, pour lesquels la publication d’un décret, présenté en CSFPE cet été, est attendue), il n’est pas exempt de critiques. Outre le report de son application en 2018, PPCR aura été mis en œuvre "uniquement sur le volet grille" "puisque ni le volet carrières, ni l’engagement sur la méthode de négociation salariale, ni l’engagement à faire vivre les grilles grâce à une valeur du point dynamique n’ont été appliqués", regrette la CFDT.

6 octobre 2020

  • AEF

Gipa, compensation de la hausse de la CSG, prime de précarité… plusieurs projets de texte (re)présentés aux syndicats

C’est là que la modification intervient. L’ancienne version ne s’appliquait en effet pas "aux contrats, le cas échéant renouvelés, conclus avant le 1er janvier 2021". Ce qui permettait d’additionner aux renouvellements intervenant après le 1er janvier 2021 des "morceaux" de contrats signés avant cette date et de dépasser ainsi la durée maximale de 12 mois, exonérant ainsi les employeurs publics du versement de cette indemnité, décrypte la CFDT Fonctions publiques, qui se félicite de cette modification, qu’elle défendait.

5 octobre 2020

  • AEF - La CFDT demande un "traitement adapté" pour la première promotion issue de la réforme des IRA

"Quelles qu’en soient les raisons, les conditions d’accueil et de formation des élèves [des instituts régionaux d’administration] affectés en mars 2020 ne sont pas à la hauteur des ambitions affichées pour compenser le passage d’une scolarité de 12 mois à 6 mois en école", alerte la CFDT Fonctions publiques dans un courrier adressé le 2 octobre 2020 à la ministre de la Fonction publique. Aussi, la fédération demande-t-elle "que ces élèves bénéficient d’un traitement adapté au vu des circonstances et ne soient pas pénalisés".

Le téléscopage de la mise en place de la réforme des IRA (instituts régionaux d’administration) à la rentrée 2019 et l’arrivée de la crise sanitaire début 2020 risque d’avoir des conséquences dommageables pour les élèves de la première promotion "nouvelle formule". C’est tout les sens du courrier que la CFDT Fonctions publique a adressé vendredi 2 octobre à Amélie de Montchalin pour lui demander que les élèves de la première promotion remaniée bénéficient de mesures particulières.

Cette conséquence de la crise sanitaire vient s’ajouter à un premier effet pervers intrinsèque à la réforme, souligne la secrétaire générale de la fédération, Mylène Jacquot, dans son courrier à la ministre, rappelant avoir déjà exprimé "clairement" des critiques sur "l’accueil réservé aux élèves dans des services n’ayant ni les moyens, ni le temps de mettre en application les préconisations de la DGAFP en matière de formation ou d’accompagnement". Selon elle, "de nombreux dossiers de report ou de refus de titularisation sont présentés en CAP".

3 octobre 2020

  • LA GAZETTE DES COMMUNES

Maladie professionnelle : une reconnaissance du Covid pour rien ?

Autre garantie apportée par Amélie de Montchalin : « la sécurisation de la rétroactivité pour les contaminations antérieures à la date de publication du décret », indique Mylène Jacquot, secrétaire générale de la CFDT Fonctions publiques.

2 octobre 2020

  • LA GAZETTE DES COMMUNES

Les syndicats réservés sur le projet d’ordonnance « santé famille »

Pour Carole Chapelle, secrétaire générale adjointe de la CFDT Fonctions publiques, si l’article 7 mériterait d’être plus sécurisé, « les agents des services gestionnaires, soumis au secret professionnel, manipulent déjà des données très sensibles sur la vie de famille ou le casier judiciaire des agents », tempère la syndicaliste.

  • AEF - Ordonnance "santé-famille" : huit syndicats s’abstiennent et l’Unsa vote contre lors du CCFP du 2 octobre 2020

"Nous nous sommes abstenus sur ce sujet, car nous n’avions pas de méfiance particulière sur ce point, mais il pourrait y avoir des conséquences que l’on ne mesure pas à ce stade", indique de son côté Mylène Jacquot, secrétaire générale de la CFDT Fonctions publiques.

"La quasi-totalité des organisations syndicales ont déposé des amendements pour que la procédure ne s’engage pas sans l’accord de l’agent. Le gouvernement a fait un pas en déposant un amendement qui offre la possibilité pour l’agent de refuser le poste, mais il manque la possibilité de refuser en amont", indique Mylène Jacquot (CFDT)

  • AEF - Une négociation sur le télétravail sera ouverte dans la fonction publique en 2021

Cette négociation devrait commencer en 2021, après "des travaux de diagnostic et de définition du champ" d’ici à la fin de l’année, rapporte ainsi Carole Chapelle, secrétaire générale adjointe de la CFDT Fonctions publiques, un prochain groupe de travail devant se tenir dans un mois.

1er octobre 2020

  • AEF - Le gouvernement à nouveau pressé par les syndicats de suspendre le jour de carence

Le gouvernement à nouveau pressé par les syndicats de suspendre le jour de carence

Quant à la CFDT Fonctions publiques, c’est par un communiqué porté par la confédération que sa secrétaire générale Mylène Jacquot "appelle de ses vœux", avec la secrétaire nationale Catherine Pinchaut, "la suspension immédiate des jours de carence dans le public comme dans le privé".

Affirmant que la suspension du jour de carence est "une mesure de justice et de bon sens, comme elle l’a d’ailleurs été pendant toute la période de l’état d’urgence sanitaire", le syndicat met en avant la santé des clients et usagers, "un enjeu dont nul ne peut ignorer l’importance pour la vie économique, sociale et culturelle du pays". Plus même qu’une simple suspension, la CFDT, rappelant "qu’elle a toujours considéré que cette mesure ne permettait pas de traiter des absences au travail ou de leurs causes", "réaffirme sa revendication d’une suppression définitive des jours de carence du public et privé, qui nuisent à la santé publique, pénalisent les malades ou personnes fragiles sans rien régler de la question des absences au travail".