Tramway de Jérusalem : trois sociétés françaises épinglées abonné

Dans un rapport publié mi-juin, syndicats (CFDT, CGT, Solidaires) et ONG mettent en cause la participation d’entreprises françaises, à capitaux majoritairement publics, aux projets d’extension du tramway de Jérusalem vers les territoires occupés, en contradiction avec la politique de la France dans la région et en violation du droit international. 

Par La rédaction— Publié le 25/06/2018 à 14h23 et mis à jour le 17/09/2018 à 14h23

La résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU de décembre 2016 demande pourtant à tous les Etats « de faire la distinction, dans leurs échanges en la matière, entre le territoire de l’Etat d’Israël et les territoires occupés depuis 1967 ». Face au silence des entreprises Egis, Systra et Alstom (et…

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