Dans un rapport publié mi-juin, syndicats (CFDT, CGT, Solidaires) et ONG mettent en cause la participation d’entreprises françaises, à capitaux majoritairement publics, aux projets d’extension du tramway de Jérusalem vers les territoires occupés, en contradiction avec la politique de la France dans la région et en violation du droit international.
La résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU de décembre 2016 demande pourtant à tous les Etats « de faire la distinction, dans leurs échanges en la matière, entre le territoire de l’Etat d’Israël et les territoires occupés depuis 1967 ». Face au silence des entreprises Egis, Systra et Alstom (et…