LA CFDT FONCTIONS PUBLIQUES DANS LES MEDIAS - NOVEMBRE 2020

Publié le 30/11/2020

.... Autant de sujets qui ont animé l'actualité en ce mois de novembre.

27 novembre 2020

  • AEF 

Du service minimum au 100 % de télétravail, les collectivités locales avancent encore en ordre dispersé

Toutefois, ces données restent insuffisamment fiables, regrettent les syndicats, puisqu’elles ne prennent pas en compte la quotité de jours télétravaillés. Est donc comptabilisé le télétravail à partir d’un jour seulement par semaine. Loin donc des cinq jours recommandés lorsque cela est possible. Et à ce jour, "les insatisfactions et les réticences des managers perdurent", relève Mylène Jacquot, la secrétaire générale de la CFDT Fonctions publiques, observant par ailleurs que tous les agents ne sont pas demandeurs de cinq jours de télétravail par semaine. 

24 novembre 2020

  • AEF 

Le CCFP adopte l’article 5 du projet de loi "séparatisme", la protection fonctionnelle sera améliorée en 2021

Aujourd’hui, c’est à l’agent de quémander la protection fonctionnelle. L’objectif serait d’inverser la logique en prévoyant que la protection est due à l’agent", explique Mylène Jacquot, la secrétaire générale de la CFDT Fonctions publiques.

23 novembre 2020

  • LIBERATION

Télétravail dans la fonction publique : «Mon chef dit l'inverse de la ministre. J'écoute qui ?»

Fallait-il anticiper ? Oui, répond Carole Chapelle, de la CFDT fonctions publiques : «Le problème vient essentiellement du fait que le télétravail n’a jamais été mis en place. Il y a bien eu un décret en 2016 qui prévoyait notamment un recensement des activités télétravaillables dans les administrations, mais dans une large majorité, ça n’a jamais été fait. Aujourd’hui, on n’a toujours pas de règles pour régir la chose.» Début octobre, une négociation sur le télétravail dans la fonction publique a été inscrite à l’agenda social par le ministère. Mais les groupes de réflexions avec les partenaires sociaux n’ont toujours pas été lancés.

 «Reste toujours l’image que dans télétravail, il y a beaucoup de "télé" et pas beaucoup de "travail". Alors que les remontées de terrain disent l’inverse», pointe Carole Chapelle. 

20 novembre 2020

  • LA GAZETTE DES COMMUNES

Négociation collective : les syndicats fixent leurs limites

L’occasion surtout d’exposer leurs attentes pour l’ordonnance en question, qui doit passer en Conseil commun de la fonction publique « courant décembre » pour une publication « début mars », selon Mylène Jacquot, secrétaire générale de la CFDT fonctions publiques. L’enjeu de cette ordonnance est de donner une valeur juridique aux accords négociés et conclus dans la fonction publique.

Toujours dans le but d’encadrer les négociations, Mylène Jacquot, de concert avec Luc Farré, se déclare favorable à ce que celles-ci soient précédées d’accords de méthode pour « se mettre d’accord sur le contenu de la négociation et sur des moyens dédiés »

19 novembre 2020

  • AEF

Négociation collective : les évolutions apportées à l’avant-projet d’ordonnance par le gouvernement

Quant au droit syndical, la CFDT Fonctions publiques demande l’alignement des modalités d’usage dans la fonction publique territoriale sur celles des deux autres versants afin que les autorisations spéciales d’absence puissent être cumulées et créditées en décharges d’activité de service. 

17 novembre 2020

  • AEF 

Les syndicats rejettent à l’unanimité en CSFPE le texte sur les futures Directions régionales de l’emploi et du travail

En dépit de la reprise de quelques-uns de ses amendements, la CFDT Fonctions publiques s’est également prononcée contre le texte pour les mêmes raisons. "Cela fait des années que les agents sont soumis à des réorganisations successives, dont l’intention initiale n’est ni d’améliorer le service aux usagers, ni de donner du sens au travail. Cela fait également des années que nous appelons à un dialogue social plus riche et qui tienne compte de la parole des agents ", réagit Mylène Jacquot, la secrétaire générale de la fédération, craignant que "les réunions interministérielles d’arbitrages aient davantage tourné autour d’autres préoccupations que le sens du travail ou la qualité de la conduite du changement".

13 novembre 2020

  • GAZETTE DES COMMUNES 

Covid-19 : bientôt une charte de continuité des services publics

Mylène Jacquot, secrétaire générale de la CFDT Fonctions publiques, présente lors de cette visioconférence a appelé  » à la nécessité d’un cadrage plus contraignant sur la question », constatant que « la phase 2 du confinement tarde à produire des effets notables. »

  • AEF 

Amélie de Montchalin vise un objectif de 50 % de télétravailleurs dans la fonction publique de l’État 

Quant au flux d’échanges de données sur le RIE (réseau interministériel de l’État), il est relativement stable voire en légère augmentation (il affichait une baisse d’un tiers lors du premier confinement). Et "le nombre de connexions par des agents hors de leur bureau est en augmentation de 24 % par rapport à la semaine dernière (qui était lui-même de +50 % par rapport à octobre)", rapporte la CFDT Fonctions publiques. Enfin, 50 000 ordinateurs supplémentaires ont été commandés en interministériel.

  • AEF 

Le CCFP adopte le projet de décret actualisant et pérennisant l’indemnité de compensation de la CSG

Les abstentionnistes, bien que favorables à ce texte qui répond à l’une de leurs revendications, émettent toutefois quelques réserves. "Nous aurions souhaité que la réévaluation soit mensuelle pour tenir compte de la réalité des rémunérations et de leurs évolutions", fait valoir Mylène Jacquot, la secrétaire générale de la CFDT Fonctions publiques, qui avait déposé un amendement en ce sens que le ministère n’a pas retenu en raison de la difficulté à disposer de données de paie consolidées. La responsable syndicale rappelle au passage que le gouvernement avait initialement promis que la compensation de la hausse de la CSG conduise à une amélioration du pouvoir d’achat.

9 novembre 2020

  • L'EXPRESS

Matériel insuffisant, "sujet tabou"... Dans la fonction publique, le télétravail fait défaut

Une obligation "plutôt bien accueillie" par les agents du service public, "soucieux de leur état de santé et concernés par la crise sanitaire", commente Carole Chapelle, secrétaire générale adjointe de la CFDT Fonctions Publiques. 

Le problème ? Selon la CFDT, l'organisation du télétravail au sein même des structures de l'État reste pour l'instant "assez chaotique" et "clairement disparate".

"Maintenant, il faut apprendre de la première vague et réfléchir plus en amont, pour éviter de se retrouver dans ce type de situations d'urgence".  

5 novembre 2020

  • AEF 

Des syndicats alertent Amélie de Montchalin sur la réticence des employeurs publics à davantage recourir au télétravail

"La plus grande confusion règne", pointe ainsi la CFDT Fonctions publiques, citant la récente circulaire du ministère de l'Intérieur préconisant à la fois la mise en œuvre du télétravail cinq jours par semaine et le maintien de toutes les activités. "Le télétravail est généralement refusé aux cadres. En région, certains cas contact sont sommés de travailler en présentiel. Certaines DDCSPP et DDPP limitent le télétravail à un ou deux jours par semaine", égrène sa secrétaire générale, Mylène Jacquot, réclamant un "cadrage plus contraignant". Annick Fayard, secrétaire nationale de l’Unsa Fonction publique, évoque un "état de flottement", qui incite le ministère de la Justice par exemple ou certaines DDI à bouder le télétravail ou encore la ville d’Albi ou le conseil départemental de Vendée à quasiment l’ignorer.

  • LA GAZETTE DES COMMUNES 

Covid-19 et fonction publique : vers un élargissement des catégories vulnérables

La CFDT déplore également « la plus grande confusion sur la question, instillant le doute sur l’importance du respect des règles sanitaires ».  Le syndicat a encore une fois insisté sur la nécessité d’un « cadrage plus contraignant pour l’ensemble des trois versants », fait savoir Mylène Jacquot, secrétaire générale de la CFDT Fonctions publiques.

  • Syndicalisme Hebdo 

LA MISE EN PLACE DU TÉLÉTRAVAIL DOIT ÊTRE ACCÉLÉRÉE DANS LA FONCTION PUBLIQUE

Alors que la circulaire relative à la continuité du Service public du 29 octobre précise que le présentiel doit être réduit au strict minimum et que le télétravail 5 jours sur 5 est la norme dès que cela est possible, des disparités flagrantes sont observées. Si dans les collectivités, les établissements et les administrations, une montée progressive du travail à distance est constatée, celle-ci se fait beaucoup trop lentement. « Ça créer de la confusion et cela envoie un message contradictoire aux agents, qui peut laisser à penser que l’urgence sanitaire n’est pas réelle », déplore Mylène Jacquot. En Bretagne et dans le Maine-et-Loire, le télétravail est ainsi systématiquement refusé aux encadrants des finances publiques. Dans les Landes, les agents cas contacts en attente de test sont sommés de venir travailler par leur hiérarchie. Plusieurs directions départementales de la protection des populations (DDPP) limitent celui-ci à un maximum de deux jours hebdomadaires, au ministère des armées, seuls 10% des agents sont en télétravail. Une liste loin d’être exhaustive… « Ce n’est pas acceptable, lâche Mylène Jacquot. Et cela instille le doute sur l’importance du respect des règles sanitaires. » En réponse, la ministre a assuré qu’elle veillerait à l’exemplarité de la fonction publique, et ce dans les trois versants, notamment dans la territoriale où les employeurs rechignent particulièrement à suivre les consignes. « Les instructions leurs seront rappelées directement » précise Mylène Jacquot.

 

PERRI SCOPE - LCI 

Intervention Mylène Jacquot - A partir de 6 min 55