La CFDT Fonctions publiques dans les médias - Décembre 2020

Publié le 07/12/2020 (mis à jour le 18/12/2020)

.... Autant de sujets qui ont animé l'actualité  en ce mois de décembre 2020.

17 décembre 2020

  • LE MONDE 

La complémentaire santé des fonctionnaires sera financée en partie par leur employeur

« C’est une revendication de longue date de la CFDT-Fonctions publiques, réagit sa secrétaire générale, Mylène Jacquot. S’ouvrent désormais de longs mois de travaux pour y parvenir, avec un dialogue social dont nous attendons qu’il soit aussi lié au renforcement de la négociation. Car la participation des employeurs doit aussi s’accompagner de la négociation de contrats de complémentaire en santé et en prévoyance. »

  • AEF 

Ordonnance sur la négociation collective : la CFDT fourbit ses revendications avant le CCFP du 18 décembre

Alors que le Conseil commun de la fonction publique doit examiner le 18 décembre 2020 en séance plénière le projet d’ordonnance relative à la négociation collective, la CFDT Fonctions publiques a adressé le 15 décembre un courrier à la ministre de la Transformation et de la Fonction publiques lui rappelant ses revendications. La fédération insiste notamment sur l’importance de la formation, des moyens syndicaux, la nécessité de travailler à une cartographie des CAP, de compenser la perte du temps syndical en raison de la crise sanitaire et de préparer les élections professionnelles de 2022.

"La CFDT est convaincue de l’utilité de ces formations : pour les cadres des administrations de l’ensemble des versants, pour les élus, et pour les représentants des personnels", si possible avec des formations communes à tous ces acteurs, souligne à cet égard Mylène Jacquot estimant que "cet impératif de formation constitue un véritable défi exigeant en termes de moyens, y compris pour les organisations syndicales".

14 décembre 2020

  • MIROIR SOCIAL

Quels leviers syndicaux pour peser dans la transformation permanente des fonctions publiques ? (VIDEO)

Dans ce contexte, la réforme introduit la possibilité d’ouvrir des négociations locales sur quasiment tous les sujets pour la première fois, en s’adressant tant aux agents titulaires qu’aux contractuels qui représentent déjà 20 % des effectifs. « Ouvrir la capacité de négocier à tous les niveaux est quelque chose de très important mais il faut au préalable des engagements sur les moyens au service de la négociation sous la forme d’un accord de méthode. Cela devrait être obligatoire », explique Mylène Jacquot, secrétaire générale de la CFDT fonctions publiques.

Pour Mylène Jacquot, « négocier les politiques indemnitaires permettrait de poser le sujet de l’égalité salariale entre les femmes et les hommes car cet élément de rémunération est un facteur d’aggravation des inégalités en raison de son absence de transparence ».

11 décembre 2020

  • AEF

Dérogation au jour de carence : la ministre s’engage à travailler à sa prolongation après le 16 février 2021

D’autre part, les syndicats continuent à demander une suppression du jour de carence plutôt qu’une suspension et s’interrogent sur les dates d’application. Le 1er janvier 2021 est jugé trop tardif tout comme la date du 16 février est considérée prématurée. "Pourquoi lier la fin de la suspension à la fin de l’état d’urgence alors que le début de la suspension est complètement déconnecté de ce même état d’urgence ?", s’interroge ainsi la secrétaire générale de la CFDT Fonctions publiques, Mylène Jacquot, continuant à militer pour la suppression du jour de carence, son efficacité sur l’absentéisme n’étant pas démontrée

8 décembre 2020

  • LE PARISIEN 

Fonction publique : le jour de carence va être suspendu pour les agents positifs au Covid-19

Dans un autre communiqué, la CFDT (2e syndicat) se dit « soulagée d'avoir enfin été entendue, même si elle regrette que cette mesure n'intervienne qu'au 1er janvier 2021, trois mois après le retour de l'état d'urgence sanitaire ».

La CFDT « réaffirme sa revendication d'une suppression définitive des jours de carence du public et privé qui nuisent à la santé publique, pénalisent les malades ou personnes fragiles sans rien régler de la question des absences au travail ». 

7 décembre 2020

  • LA GAZETTE DES COMMUNES

Réforme de la complémentaire santé : la concertation a débuté.

« Les agents des trois versants de la fonction publique, titulaires ou contractuels, payent de leur poche la quasi-intégralité de leur protection sociale complémentaire », expose Mylène Jacquot, secrétaire générale du syndicat. Un constat qui implique « l’obligation de la participation financière des employeurs publics à hauteur de 50 % ». Par ailleurs, le syndicat rappelle que « la couverture doit être garantie en santé et en prévoyance et concerner tous les agents, qu’ils soient titulaires et contractuels sur les trois versants

  • AEF 

L’amendement sur la suspension du jour de carence pour les agents publics atteint du Covid en passe d’être voté

La secrétaire générale de la CFDT Fonctions publiques a de son côté pointé le 4 décembre sur Twitter une mesure répondant à une revendication de son organisation. "C’est une demande forte de l’Unsa Fonction Publique", a pour sa part réagi le syndicat le même jour, ajoutant maintenir "par ailleurs, sa reven­di­ca­tion de sup­pres­sion défi­ni­tive du jour de carence" et rap­pelant "que son appli­ca­tion se tra­duit par une aug­men­ta­tion des congés longs dans la fonc­tion publi­que".

4 décembre 2020

  • AEF 

Protection sociale complémentaire : Amélie de Montchalin fixe 2024 comme étape de convergence entre public et privé

À l’occasion du deuxième groupe de travail sur la protection sociale complémentaire qui s’est tenu ce 4 décembre 2020 avec les organisations syndicales , la ministre de la Transformation et de la Fonction publiques a indiqué que l’ordonnance prévue par l’article 40 de la loi Dussopt du 6 août 2019, fixera, outre un cadre général, un "cap" en 2024 pour permettre la convergence entre les trois versants et avec le secteur privé, rapporte la CFDT Fonctions publiques. Une fois le cadre commun fixé par l’ordonnance, des négociations auront lieu par versant.

  • AEF 

Protection sociale complémentaire : une ordonnance de cadrage avant l’ouverture d’une négociation en vue d’un accord

"Qui dit négociations, dit revendications, insiste de son côté Mylène Jacquot, secrétaire générale de la CFDT Fonctions publiques, qui "porte des propositions réalistes, concrètes, opérationnelles".

De fait, pointe Mylène Jacquot (CFDT), le capital décès a été drastiquement revu à la baisse" en 2015. Autre sujet statutaire à revoir, soulevé notamment par Benoît Teste (FSU), le passage à mi-traitement après trois mois de d’arrêt pour les fonctionnaires en congé longue maladie.

Se pose aussi la question de l’article 44 de la loi statutaire de janvier 1986 pour le versant hospitalier, qui "continue de servir d’excuse à l’absence de couverture complémentaire et pénalise de plus en plus durement les agents de ce versant et leurs familles", relève Mylène Jacquot (CFDT). Cet article prévoit l’accès gratuit aux soins et aux médicaments pour les agents hospitaliers (dans l’établissement où ils exercent) mais est très mal appliqué.

 La CFDT, elle, prévient ne pas vouloir que "les avancées réalisées en matière de PSC servent de monnaie d’échange au maintien du jour de carence".

1er décembre 2020

Égalité femmes-hommes : six ministères sanctionnés pour non-respect des quotas

"Je ne suis malheureusement pas étonnée pour un ministère qui est connu pour être plus masculin que d'autres", confie Mylène Jacquot, secrétaire générale de la CFDT Fonctions publiques, à propos du ministère de l'Économie. "Mais le manque d'étonnement n'empêche pas la colère. Cette colère est liée à l'écart qu'on constate entre les discours sur l'égalité professionnelle et la réalité qui est donnée à cette priorité de faire accéder les femmes à des emplois dirigeants dans l'administration française", qu'il s'agisse de l'administration de l'État ou des collectivités.

  • AEF

Quelle reconnaissance du Covid-19 comme maladie professionnelle pour les agents de l’État ? (projet de circulaire)

C’est une application la plus bienveillante possible du décret qui, lui, nous pose problème. Il n’est acceptable", commente Carole Chapelle, de l’Uffa-CFDT. Elle met notamment en cause "un problème de temporalité, alors que le projet de circulaire ne prend en compte que la période allant du 17 mars au 31 août"