La CFDT Fonction publique dans les médias - Août 2022

Publié le 02/09/2022

... Autant de sujets qui ont animé l'actualité de ce mois d'août 2022.

30 août 2022

  • Capital

Plus de télétravail pour les fonctionnaires ? Les syndicats contre l'idée du gouvernement pour économiser l'énergie

Pour la CFDT Fonctions publiques, "il ne sera pas acceptable que la sobriété de l'État se traduise par de simples transferts des charges vers les agents et leurs familles". 

26 août 2022

  • Ouest France

Sobriétè énergétique : comment l'administration française compte-t-elle s'y prendre ?

Si le télétravail devait être renforcé, Mylène Jacquot, représentante de la CFDT, plaide pour revaloriser l’indemnité journalière, actuellement fixée à 2,50 €, une somme définie avant les augmentations importantes des coûts de l’énergie.

25 août 2022

  • AEF

Pouvoir d’achat : face à l’inflation, les organisations syndicales attendent une nouvelle revalorisation générale

Les attentes de la CFDT face à "l’urgence liée à l’inflation"

La CFDT Fonctions publiques n’a pas attendu la rentrée pour rappeler au ministre son engagement "de réunir les organisations représentatives à l’automne, pour faire le bilan des premières mesures d’urgence prises afin de tenir compte des impacts de l’inflation sur la grille de rémunération des agents publics, fonctionnaires et contractuels", comme elle lui a signifié dans un courrier le 20 juillet sa secrétaire générale, Mylène Jacquot. À la veille d’une nouvelle revalorisation du Smic (de 2,01 % au 1er août), elle insiste sur la nécessité de "tenir compte de cette hausse".

Sans préjuger des résultats des travaux de fond qui doivent s’ouvrir sur les rémunérations (lire sur AEF info), dans le cadre de cette "revoyure", la CFDT rappelle dans son courrier "ses attentes dans le cadre de l’urgence liée à l’inflation, pour l’ensemble des agents publics" : "prise en compte du Smic de manière pérenne en indice (et non sous forme d’indemnité différentielle) et relèvement à l’identique du minimum de traitement" ; "restauration d’amplitudes de carrière valorisantes, particulièrement pour les agents de catégorie C" ; et "maintien de la reconnaissance des niveaux de qualifications exigés lors des recrutements" – sachant que "seuls quatre points séparent aujourd’hui le premier indice de la catégorie C de celui de la catégorie B" – "et valorisation des débuts de carrière". Pour finir, elle souligne que "seule une nouvelle hausse de la valeur du point pourra répondre aux conséquences de l’inflation inédite".